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Comment venir à bout de cette appréhension et gagner en assurance pour mieux s’affirmer en public

C’est une peur qui est largement connue et qui touche tous les milieux sociaux. Cet état d’esprit peut arriver à tous les niveaux de responsabilité. Lorsqu’elle est modérée, l’angoisse de parler en public est pesante mais pas invalidante. En revanche, lorsque le trac se fait plus intense et confine à la phobie, ceux qui en sont atteints se retrouvent comme enfermés, incapables de surmonter la terreur qui les paralyse. « Il m’est arrivé un jour de m’effondrer, littéralement. Je devais prendre la parole pour un colloque professionnel et à quelques secondes de monter sur la scène, je suis tombée dans les pommes », raconte ainsi Pauline, 34 ans et cadre supérieur dans une entreprise de téléphonie. Sylvain, 40 ans, ingénieur, fait quant à lui en sorte d’éviter toutes les occasions où il devrait se produire devant « plus de dix personnes ». Ce qui confie-t-il, « est un frein dans ma carrière ». Pourtant, les experts que nous avons interrogés sont formels : il existe des solutions pour en finir avec cette angoisse. En voici quelques-unes.

Maîtriser le fond du sujet que vous allez présenter

Personne n’est conçu pour tenir un discours en public dès sa naissances, il faut apprendre comme dans la Formation Accueil Client. Un entrepreneur et spécialiste en accompagnement du changement ont affirmé que tout le monde a peur, ou tout au moins la grande majorité des gens. Ceux qui semblent à l’aise le sont en général parce qu’ils ont travaillé tant et tant qu’ils connaissent leur intervention sur le bout des doigts. Cela permet en général d’éliminer une partie du stress ». Et de rappeler que de tout temps les grands orateurs. Ils ont inlassablement répété leurs discours: « Les tribuns romains déclamaient le leur des cailloux dans la bouche face à la mer pour être certains de leur diction ».

Prenez votre temps, ne vous mets pas la pression

Les gens qui prennent la parole en public ont tendance à garder un débit rapide. Peut-être que comme ça on fini vite ce qu’on a à faire. Sauf que parler rapidement alors que l’on est dans un état d’anxiété a toutes les chances d’empirer les balbutiements et de perdre l’auditoire. Il ne faut donc pas avoir peur du silence et s’efforcer de parler à un rythme plus lent qu’à l’accoutumée. Ce qui permet en outre de reprendre sa respiration à un moment où l’on en a plus que jamais besoin.

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